«Le virus Zika, qui provoque de graves anomalies cérébrales chez les nourrissons, ne représente plus une urgence de santé publique de portée mondiale ». A le déclarer le docteur David Heymann, président du comité d’urgence de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sur Zika lors d’une conférence de presse virtuelle. Depuis 2015, le virus Zika, transmis par […]
«Le virus Zika, qui provoque de graves anomalies cérébrales chez les nourrissons, ne représente plus une urgence de santé publique de portée mondiale ». A le déclarer le docteur David Heymann, président du comité d’urgence de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sur Zika lors d’une conférence de presse virtuelle.
Depuis 2015, le virus Zika, transmis par la piqûre du moustique Aedes aegypti, mais aussi par voie sexuelle, a touché soixante-treize pays, dont vingt-trois pays ont annoncé avoir constaté des cas de microcéphalies et de syndrome de Guillain-Barré, potentiellement liés à Zika. Malgré le virus représente encore une menace importante pour la santé publique et nécessite une réponse globale, l’état d’urgence, qui avait été décrété le 1er février 2016, a été retiré.
Deux vaccins contre Zika sont actuellement en cours d’évaluation, selon l’OMS, et les résultats de la phase 1 des tests cliniques sont en train d’être examinés.